Manifeste Tuvalu 51 (version Française)
Un état «sans armes»
Nous voulons que cet État interdise la possession individuelle
d’armes létales. (Les armes létales sont réservées à
la force armée légitime, uniquement pour assurer la protection
contre les menaces extérieures, les armes létales ne doivent
pas être utilisées pour assurer l’ordre, à l’exception de la
nécessité d’abattre des groupes armés illégaux. La force armée
légitime doit toujours être accompagnés de représentants du
service civil formés pour prévenir les abus et négocier.
Service civil
Nous voulons un service civil obligatoire. Tout citoyen adulte et
en bonne santé doit être dans le service civil obligatoire
lorsqu’il est au chômage, lorsqu’il est en probation, pendant un
maximum de 18 heures par semaine, et pour tout autre citoyen et
nouvel arrivant, au moins 2 heures par semaine.
Ce service civil est un travail non rémunéré offert à la
communauté. Il remplace l’ancien service militaire obligatoire de
l’ancien monde connu également dans certains pays sous le nom de
«service national».
Un ensemble de missions variées peut être demandé aux membres
du service civil. Parmi ceux-ci, aidez à lutter contre la haine et
la désinformation en ligne.
Au cours de ce service civil, les nouveaux arrivants peuvent être
appelés à aider à lutter contre la haine et la désinformation en
ligne, en particulier celles provenant de pays contre le monde libre,
avec un accent particulier sur les organisations terroristes, sous la
supervision et le filtrage de la communauté du renseignement.
Ils deviendront ainsi de facto des membres de la communauté du
renseignement pendant un certain temps. Ceux qui montreront un talent
particulier pour cette mission seront ensuite embauchés par la
communauté du renseignement, selon la règle du temps partiel,
tandis que ceux qui se montreront de facto membres d’organisations
terroristes, ou membres de services de renseignement hostiles, se
verront refuser le statut de réfugié.
Partage du
travail
“Partager et vivre, ou garder
et mourir”
L’échelle sociale ne peut fonctionner
que si tout le monde (et en particulier les cadres) accepte de ne
travailler qu’à temps partiel, notamment en période de crise
sanitaire, économique et écologique.
À Tuvalu 51, nous voulons que le temps
de travail hebdomadaire maximal ne dépasse pas 18 heures, ce qui
signifie que tout le monde doit être un travailleur à temps
partiel. L’exception à la règle est qu’il n’y a pas assez de
travailleurs qualifiés pour effectuer les tâches à temps partiel
(ex. Hôpital), alors le temps plein est momentanément autorisé. Un
autre sauf à la règle est lorsqu’un collègue est malade ou absent
pour une raison quelconque.
À Tuvalu 51, nous approuvons la
promotion du travail à temps partiel en règle générale et en tant
que solution pour offrir plus de possibilités d’emploi à plus de
personnes, à condition que chaque travailleur accepte de se
conformer à cette règle.
En règle générale, le travail à
temps partiel peut également aider à résoudre les problèmes de
santé, car les travailleurs à temps partiel peuvent très bien
prendre soin de leur santé en pratiquant une activité physique
pendant leur temps libre. Vingt employés à temps partiel sont
également plus résistants au surmenage ou à l’absentéisme causé
par des causes externes (épidémies, etc.) que dix employés à
plein temps stressés.
En règle générale, l’emploi à temps
partiel peut aussi très bien contribuer à réduire le taux de
gaspillage et de surconsommation, du simple fait que les travailleurs
à temps partiel ont plus de temps pour RÉDUIRE, RÉUTILISER et
RECYCLER leurs déchets.
En règle générale, le travail à
temps partiel peut également conduire à une meilleure éducation
des enfants et des adultes puisque les travailleurs à temps partiel
ont plus de temps pour éduquer leurs enfants, et aussi plus de temps
pour s’éduquer eux mêmes, s’informer et se former.
Tuvalu 51 apporte espoir et résilience,
et c’est dans le changement de paradigme absolu que représente le
temps partiel en règle générale, couplé à l’habitat marin. Afin
d’éviter les contacts dans ce monde post-Covid, il faudra diviser
par deux les équipes, et donc la production, dans toutes les
entreprises ou institutions qui n’ont pas la possibilité d’agrandir
leurs locaux, ce qui signifie presque toutes les entreprises et
institutions, qu’elles soient publiques ou privées.
Une réduction brutale de la production
de moitié signifierait de facto une réduction de moitié des
recettes fiscales et ce serait trop difficile à supporter pour les
démocraties. Pour amortir ce choc, la pertinence de développer
l’habitat marin apparaît dans toute sa vérité.
L’habitat marin permettra l’accueil
inconditionnel de tous les réfugiés et populations en détresse, ce
qui ne fera malheureusement pas défaut dans les années à venir.
Ces populations seront soumises à cette nouvelle loi, le travail à
temps partiel, condition de leur accueil inconditionnel.
Ainsi, en répartissant l’activité
économique pour moitié sur le continent, et pour moitié sur
l’océan (villes flottantes, fermes flottantes, etc.), il sera
possible pour les pays pionniers qui acceptent de reconnaître et de
soutenir Tuvalu 51 de préserver leurs recettes fiscales, et donc
leur capacité à gérer correctement les crises sanitaire et
climatique.
Les autres «Contrées»,
celles qui veulent «tout garder» seront condamnées à gérer
SEULES les mêmes problèmes qu’aujourd’hui avec DEUX FOIS moins de
ressources. Punition radicale. Géhenne économique. Il y a une
dimension prophétique dans ce que nous vivons. Pour SURVIVRE, vous
devrez PARTAGER. Le travail. Les ressources. L’océan. L’espace. La
connaissance.
Plus tard, lorsque l’économie
redémarrera, et que la croissance verte ne sera plus un simple
concept, alors ces populations de travailleurs à temps partiel
pourront progressivement augmenter leur mode de vie et constitueront
un réservoir de clients / fournisseurs / épargnants pour une
mondialisation écologique et économique en plein essor, ce qui est
encore bien mieux que de les laisser mourir au large des côtes
Européennes ou à la frontière Mexicaine. Vous devez PARTAGER
aujourd’hui pour pouvoir REBONDIR demain! Tout cela est contenu dans
la devise de TUVALU 51, «Partager et vivre, ou garder et mourir».
C’est une devise prophétique, cette devise conviendra également
parfaitement à la conquête spatiale.
En conséquence, nous voulons que
tuvalu 51 promeuve le partage de l’emploi à l’échelle mondiale, car
un monde avec 5 milliards de travailleurs à temps partiel offrira
plus d’opportunités de marché et une meilleure résilience
économique aux pandémies et aux crises que le monde pré-Covid. En
règle générale, le travail à temps partiel, ou le partage du
travail, n’est pas seulement favorable aux affaires, mais le seul
moyen de sauver la civilisation.
Protection des femmes et des enfants
Dans ce monde, les statistiques montrent que jusqu’à un enfant
sur dix est victime d’inceste. D’autres estimations montrent que
jusqu’à un être humain sur 3, dont 86% sont des femmes ou des
filles, sera dans sa vie victime d’un viol ou d’une tentative de
viol. (Rapport d’information réalisé sur le viol, Mme Sophie
Auconie et Mme Marie – Pierre Rixain, inscrites à la présidence de
l’Assemblée nationale française le 22 février 2018.) *
Cela signifie simplement qu’un homme sur trois ne peut être
considéré comme «civilisé».
Ainsi, à Tuvalu 51, nous voulons que
les enfants de moins de 15 ans soient élevés dans un accès
restreint, «où seules les femmes font les règles» des bâtiments
/ zones, où les hommes adultes (plus de 15 ans) ne seraient tolérés
qu’à condition qu’ils n’aient aucun antécédent d’agression ou
violence domestique, et à condition qu’il y ait acceptation du (des)
conseil (s) des femmes contrôlant le (s) bâtiment (s) / zone (s).
Tout homme dénoncé ou condamné pour viol, tentative, violence
domestique ou comportement abusif ou menaçant pourrait ainsi être
banni des zones «gouvernées par des femmes».
Nous voulons que l’école et les installations éducatives (sport,
etc.) soient adjacentes à la «zone de gouvernance des femmes», et
soient d’un accès restreint.
Santé
publique
À Tuvalu 51, nous pensons que les individus en
bonne santé sont meilleurs pour la société que les malades. Pour
cette raison, chaque substance, psychoactive ou non, doit avoir une
consommation durans la vie raisonnable,
limitée ou interdite. Le plutonium, par exemple, devrait être une
substance interdite. L’alcool, le sucre et les graisses doivent être
limités. S’empoisonner n’a rien à voir avec la liberté
individuelle et le libre choix, puisque l’auto-intoxication a des
conséquences néfastes pour la communauté et les contribuables,
notamment à travers l’encombrement
des urgences et des hôpitaux.
Chaque individu a une tolérance spécifique à chaque substance.
Seul un avis médical doit confirmer ou modifier la règle générale.
Exemple :
Si la communauté médicale énonce une règle
générale selon laquelle tout individu peut consommer une quantité
donnée de sucre avant de développer un diabète, cela peut être
utilisé pour accorder à chaque individu un «crédit sucre» à vie
à utiliser dès sa naissance. Lorsqu’une surconsommation est
détectée, un avertissement se produit et cette personne est soumise
à une assistance médicale et à un dépistage. Le crédit sucre,
par exemple, peut prendre la forme d’une carte de crédit utilisée
pour acheter de la nourriture et des substances problématiques comme
l’alcool. Chaque achat diminue automatiquement le crédit, calculé
sur la quantité de sucre ou de substance
problématique associée à la référence
du code barre.
La technologie, le big data et l’intelligence artificielle
aideront à faire au moins deux choses:
1- Définir mieux qui est à risque de
développer des maladies, et ainsi la communauté aidera ces
personnes AVANT qu’elles ne tombent malades, évitant ainsi
l’encombrementt
des urgences et des hôpitaux.
2-Associer
chaque code-barres à la quantité exacte de substances que l’article
contient.
Industrie
Nous voulons que cet État sanctuarise
la matière première qu’il utilise / importe pour son industrie.
Pour ce faire, au moins un dixième de toutes les matières premières
utilisées / importées, doit être stocké indéfiniment dans des
caissons flottants, sous une forme utilisable, aux frais du
consommateur final, grâce à une TVA spéciale. Ce stockage est
considéré comme stratégique et sera réservé à la conquête
spatiale uniquement.
Nous voulons que Tuvalu 51 prépare la
conquête spatiale. Nous savons que les supernovas et les sursauts
gamma sont une menace, l’expansion et le refroidissement de l’univers
sont une autre menace et les objets spatiaux comme les astéroïdes
sont une autre menace.
Pour assurer la protection contre les
astéroïdes, tout vaisseau spatial de longue durée doit être
entouré d’une couche épaisse de plusieurs kilomètres d’eau liquide
ou «gelée» pour absorber les chocs. Cette eau (océan artificiel)
elle-même protégée de l’espace extra-atmosphérique par une coque
externe appropriée.
Pour assurer la protection contre le
sursaut gamma, nous nous en éloignerons dès que possible, en
attendant de pouvoir nous abriter rapidement dans des caissons
flottants. L’épaisseur du béton est censée arrêter les rayons
gamma.
Pour assurer la protection contre le
refroidissement universel, nous enverrons des vaisseaux spatiaux
partout dans l’espace extra-atmosphérique pour collecter le plus
possible de carbone, d’hydrogène et d’oxygène, entre autres
matériaux nécessaires, afin de le transformer en matière
organique, qui peut être utilisée pour nourrir les bactéries dans
l’«océan artificiel» qui entourera les vaisseaux spatiaux.
L’infrarouge ainsi émis par toutes ces bactéries permettra à la
fois de maintenir une température acceptable à l’intérieur du
vaisseau spatial, et lorsqu’il est émis vers la coque extérieure,
cet infrarouge permettra également de ralentir le refroidissement de
l’univers, espérons-le d’une bonne manière. Les bactéries
présentes dans cet océan artificiel peuvent également produire de
l’électricité et / ou de l’hydrogène.
Nous voulons que Tuvalu 51 se développe à la surface de la mer,
de préférence dans des zones où les cyclones peuvent ne pas se
produire. (Mer Noire, Mer Rouge, Mer Baltique, Mer Méditerranée,
Mer du Japon et ainsi de suite…)
Bien que l’industrie de Tuvalu 51 dépende des énergies marines
renouvelables, nous voulons mettre en place une redevance carbone et
un dividende carbone comme proposé par le lobby des citoyens pour le
climat et déjà mis en œuvre par le Canada. *
Relations avec le monde libre
«Made in China» vs «Made in Tuvalu 51»: la révolution de
la classe moyenne.
De plus en plus de marchandises proviennent de Chine, rendant
ainsi le Parti communiste chinois plus riche et plus fort, et
l’oppression sur Hong Kong, les Tibétains et les Ouïghours de plus
en plus forte. Ce n’est pas un rêve de reconstruction durable!
Ce que nous proposons à la place, c’est d’accueillir tout réfugié
de ce monde, à UNE seule condition: il accepte de travailler à
temps partiel, pas à plein temps, ayant ainsi le temps de s’éduquer,
de devenir plus compétent et donc d’entrer plus rapidement dans la
classe moyenne.
Le fait est qu’un État de deux milliards d’individus de classe
moyenne, offrira beaucoup plus d’opportunités de marché dans son
ensemble, qu’un milliard d’esclaves sans instruction travaillant à
plein temps. Car la classe moyenne, même frugale et écolo,
consomme plus de biens et de services à forte valeur ajoutée.
Pour de nombreuses raisons, la prospérité et donc le profit
dépendent et dépendront de plus en plus des opportunités du marché
plutôt que des faibles coûts de main-d’œuvre.
Cela peut sembler trop “révolutionnaire” mais ce n’est
pas le cas. Ce sont des mathématiques.
Si nous reconnaissons qu’aucun pays ne peut autoriser deux
milliards de réfugiés, il doit être possible de le faire dans des
villes flottantes et des fermes abordables situées dans le vaste
domaine maritime des îles Tuvalu.
Désormais, les entreprises du monde
libre auront un objectif noble: partager leur travail avec les
réfugiés plutôt que de délocaliser chez les «esclaves» en Chine
continentale
Nous voulons que Tuvalu 51 négocie
d’abord avec le gouvernement des îles Tuvalu, puis avec le
gouvernement du Royaume-Uni et le gouvernement des États-Unis, et
enfin avec l’Union européenne et les Nations Unies.
Si le gouvernement des îles Tuvalu et
le gouvernement du Royaume-Uni acceptent cette proposition, laisser
les îles Tuvalu faire partie des États-Unis, mais avec un certain
degré d’indépendance quelque part entre Porto-Rico et la
Californie, et devenir le premier état flottant « accueillant
pour les réfugiés », alors Tuvalu 51 peut être renommé”
New Tuvalu “ou tout autre nom qui serait voté. Si Tuvalu 51 ne
parvient pas à un tel accord, alors il continuera sous le nom de
“Tuvalu 51” et essaiera directement de négocier avec
l’Union européenne et les Nations Unies, notamment le HCR, et Tuvalu
51 attendra avec impatience de devenir une organisation
internationale, centre de secours et de formation offshore pour les
réfugiés, sous la protection de toute entité du monde libre qui
acceptera de le protéger.
Pendant le processus, tout soutien du
monde libre est le bienvenu, même des petits pays.
Nous voulons
que tuvalu 51 fasse en sorte que le monde libre accepte le partage
d’emploi dans le monde, car un monde avec 5 milliards de travailleurs
à temps partiel offrira plus d’opportunités de marché et une
meilleure résilience économique aux pandémies et aux crises que le
monde d’avant Covid.
Relations
avec la communauté du renseignement
À Tuvalu 51, nous pensons qu’il serait avantageux pour la
communauté du renseignement de mieux s’appuyer sur la population en
général, en tant que source de renseignements et de conseils
avisés, ainsi qu’en tant qu’allié.
En outre, nous pensons qu’il serait préférable que la
population en général contribue plus activement à la communauté
du renseignement, ayant ainsi un certain contrôle sur cette même
communauté du renseignement, au moins pour renforcer la démocratie
et améliorer son efficacité globale.
Au cours de ce processus de renforcement de la confiance
réciproque, des citoyens compétents et des nouveaux arrivants
peuvent être invités à aider à lutter contre la haine et la
désinformation en ligne, en particulier celles provenant de pays
contre le monde libre, avec un accent particulier sur les
organisations terroristes, sous la supervision et le filtrage de la
communauté du renseignement.
Ils deviendront ainsi de facto des membres de la communauté du
renseignement pendant un certain temps. Ceux qui font preuve d’un
talent particulier pour cette mission seront ensuite embauchés par
la communauté du renseignement, selon la règle du temps partiel,
permettant ainsi à la communauté du renseignement régulière de
mieux se concentrer sur certaines tâches jugées plus urgentes ou
importantes.
À Tuvalu 51, nous pensons que la meilleure personne pour assurer
la supervision est le talentueux héros du monde libre Reality Leigh
Winner, c’est pourquoi nous demandons au président Biden de la
grâcier, ainsi nous espérons que nous pourrons l’embaucher.
Système judiciaire
Nous voulons que cet État négocie
l’abolition du système carcéral dans le monde et l’abolition du
travail pénitentiaire et de la peine de mort.
Nous voulons que les criminels du monde
entier soient libérés de prison et envoyés dans une usine
flottante nommée «Gehenna», cette usine flottante sera
exclusivement dédiée à la collecte, au nettoyage et au recyclage
du plastique contenu dans l’océan.
Ces criminels du monde entier se
verront accorder la nationalité «barbare» et ne seront donc jamais
autorisés à quitter cette usine flottante, à moins qu’ils ne
soient avérés inoffensifs ou innocents. Sinon, ils auront les mêmes
droits que n’importe quel autre humain, sauf le droit de se marier et
de procréer. Les femmes seront donc sur un navire et les hommes sur
un autre. Une partie de l’argent dépensé chaque année dans les
prisons du monde entier sera donc donnée par chaque nation disposée
à abolir la peine de mort et le système carcéral, en compensation
de la prise en charge de leurs détenus à la «Géhenne». Cet
argent sera utilisé pour construire et entretenir l’usine flottante
«Gehenna», et pour offrir un minimum de nourriture et de soins de
santé aux barbares.
Le produit de la vente de plastique
recyclé sera accordé aux barbares qui l’ont produit, car les
barbares ne sont pas des animaux, ce sont juste des barbares, tout
comme nos ancêtres préhistoriques … Ils négocieront librement
son prix, et ils se verront accorder le droit d’embaucher des
cabinets d’avocats internationaux pour poursuivre les pollueurs et
les producteurs de plastique et les contraindre à payer une amende.
Les «barbares» gagneront ainsi leur vie, et une partie de cet
argent sera remise pour indemniser leurs victimes. Ils peuvent
utiliser leur argent comme ils le souhaitent et organiser leur
société comme ils le souhaitent. Mais les barbares ne seront pas
autorisés à importer des marchandises soumises à des restrictions
comme des armes, etc.
Tout autre travail pénitentiaire sera
considéré comme de l’esclavage et illégal.
Nous voulons que cet État négocie et
échange d’abord avec le monde libre ou ce qu’il en reste, mais nous
voulons aussi la liberté de négocier et d’échanger avec d’autres
pays, à condition qu’ils acceptent de négocier l’abolition du
système carcéral, le travail pénitentiaire et la peine de mort. .
Les contrevenants à la loi de Tuvalu
51 seront en probation pour des délits mineurs, jusqu’à
indemnisation nécessaire. Les criminels seront envoyés sur le
navire “Gehenna”, à perpétuité pour crimes de sang,
maltraitance d’enfants et crimes connexes, et se verront donc
accorder la nationalité barbare, tandis que les récidivistes des
délits mineurs y seront envoyés aussi longtemps que nécessaire
pour démontrer qu’ils sont entièrement réhabilités et aussi
longtemps qu’il faudra pour réparer les dommages causés.
Le vaisseau Gehenna sera divisé en
quatre sections distinctes. Deux secteurs pour les ressortissants
barbares, hommes et femmes, qui travaillent comme une nation
indépendante d’accès restreint. Deux autres secteurs pour les
récidivistes (hommes et femmes séparés ) qui restent sous la
juridiction de Tuvalu 51 et fonctionnent plus comme un pénitencier
classique «à temps».
À Tuvalu 51, nous pensons que tout le
monde aura une deuxième chance, sauf les crimes de sang et les
crimes connexes, de sorte que toutes les ressources de réadaptation
devraient se concentrer sur cette deuxième chance. La récidive
n’est pas une option. À Tuvalu 51, il existe trois niveaux de
probation:
1-Les primo-délinquants ont une
seconde chance de faire du travail communautaire et d’offrir une
compensation à leurs victimes.
2-Les récidivistes (première
récidive) sont envoyés dans le secteur de probation «Géhenne»
jusqu’à ce qu’ils aient entièrement indemnisé leurs victimes et
aussi longtemps qu’il le faudra pour prouver qu’ils sont pleinement
réhabilités.
3- Les multi-récidivistes (délinquants
pour la troisième fois et plus) sont des criminels et se verront
octroyer une citoyenneté barbare et ne retourneront jamais dans le
monde libre, à moins que leur innocence ne soit prouvée.
À Tuvalu 51, voici comment nous
pourrions apaiser les relations entre la police et la population:
-Une arrestation, un contrôle
d’identité doit toujours être justifié après coup. En l’absence
de justification a posteriori (contravention, délit, crime), la
personne contrôlée ou arrêtée doit se voir accorder une indemnité
pour «perte de temps» de 50 USD par heure avec un minimum de 20
USD. Comme par miracle, le nombre de contrôle injustifiés va donc
chuter drastiquement, et donc le nombre de bavures.
-Si, en revanche, l’arrestation est
justifiée après coup, y résister constitue un délit passible
d’une amende calculée au prorata du nombre d’agents présents
multiplié par l’indemnité horaire pour «perte de temps».
-Résister à une arrestation non
justifiée à postériori ne constitue pas une infraction mais
entraîne l’annulation des indemnités horaires de «perte de temps»
auxquelles elle pourrait donner droit.
-Présomption d’innocence: toute
arrestation ou contrôle d’identité donne droit à une compensation
immédiate de 50 USD par heure avec un minimum de 20 USD, ce montant
deviendra une amende et ne sera donc restitué aux autorités que si
l’arrestation ou le contrôle d’identité est justifié après coup
(contravention, délit, crime). Il s’agit d’éviter les comportements
abusifs.
-A Tuvalu 51, nous pensons que pour
être considéré comme un délit et un acte doit provoquer un
préjudice soit à une personne soit à un bien. En l’absence de
préjudice, il n’y a pas d’infraction.
Lorsque la personne lésée ou en
danger est elle-même, il faut alors proposer à cette personne
d’être placée sous protection / surveillance médicale. Si elle est
jugée capable, et en cas de refus, cette personne devra signer une
décharge de responsabilité, permettant ainsi aux services de santé
de donner la priorité à d’autres personnes.
Lorsqu’aucun mal n’est fait mais qu’un
acte peut mettre en danger d’autres personnes ou propriétés que
soi-même, alors l’acte ou le comportement dangereux peut être
considéré comme une infraction lorsqu’il est répété.
tuvalu-51.org
https://www.facebook.com/groups/200073807737338/
https://tuvalu51.miraheze.org/wiki/Tuvalu_51%27s_project
*
https://www.assemblee-nationale.fr/dyn/15/rapports/ega/l15b0721_rapport-information.pdf
*
https://www.pbo-dpb.gc.ca/web/default/files/Documents/Reports/RP-1920-024-S/RP-1920-024-S_en.pdf